Nacer Bouhanni cinquième et sans regret Avec Nacer Bouhanni, le debriefing est toujours immédiat. Cinquième de la deuxième étape du Tour d’Oman, il a discuté avec ses équipiers dès qu’ils ont pris place autour de la voiture de leur directeur sportif.
Une conversation de quelques secondes, le diagnostic étant facile à faire. « J’ai remonté le peloton côté droit, dit Nacer, il fallait le faire côté gauche pour être dans le coup, dans la bonne vague, c’est le sprint… Avec Sébastien Chavanel, on a encore quelques réglages à trouver mais c’est normal, ça va venir au fil des jours. »
Dans cette étape sans histoire, sinon celle très triste de la mort, quelques heures plus tôt du sympathique Kristoff Goddaert (IAM) à qui le peloton a rendu hommage par une minute de silence au départ, ce sprint fut le seul moment animé pour l’équipe FDJ.fr au sein de laquelle Kenny Elissonde et Arnold Jeannesson (retardé deux semaines en janvier par un lumbago) produisent des efforts utiles.
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